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  Le Modèle DISC

Outil de management, de soi même, d’autrui et des situations, permettant de mesurer le comportement d’une personne ainsi que ses motivations, ce qui la pousse à agir. Chacun d’entre nous possède des niveaux différents de chacune de ces couleurs, c’est ce qui nous rend unique.

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Le management
situationnel

 

Cliquez ici pour lire l'article "le management situationnel"

Directif: Le manager prend la décision. Il donne des instructions précises et surveille de près les résultats.
 
Persuasif: Le manager prend la décision après discussion ou explications. Le manager explique ses décisions et donne des occasions de discuter.
 
Participatif: Le collaborateur prend la décision avec le soutien du manager. Le manager partage les idées et facilite la prise de décision.
 
Délégatif: Le collaborateur prend la décision. Le manager délègue ses pouvoirs pour les décisions et l'exécution. 


Le MBTI

 
Cliquer pour lire l'article sur le MBTI
Etabli d'après les travaux de Carl Jung par Katharine Briggs et sa fille Isabel Myers, l'indicateur typologique Myers-Briggs offre 16 types de caractère possibles à partir de 16 combinaisons.
 


Préférences cérébrales

 
 
   


 La fenêtre de JOHARI
Modèle qui représente le degré de connaissance de l'autre et de soi-même dans les relations entre individus. Il traduit les différentes interactions entre l'individu et le groupe dans lequel il évolue. 
 
 
Le modéle
Blake et Mouton
Cliquez pour lire l'article sur la Grille de Blake et Mouton
 
Cette grille permet de définir cinq styles de comportement (susceptibles de variations et de nuances). Ce sont:
- le style 9.1 "boulot-boulot": exclusivement axé sur la production, il cherche à éliminer au maximun l'incidence des facteurs humains.
- le style 9.9 "esprit d'équipe": développe simultanément et de façon harmonieuse un fort souci des personnes et des exigences de production élevées.
- le style 1.9 "gentil organisateur": uniquement préoccupé du climat et des bonnes relations, il laisse au second plan les exigences de production.
- le style 5.5 "opportuniste-pragmatique": négocie adroitement et à tour de rôle entre la satisfaction des demandes personnelles et les exigences de production.
- le style 1.1 "retrait": n'assure qu'un minimum d'instructions, d'information et de présence.
 
 

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entretien d'évaluation
Quel jugement portez-vous sur les entretiens d'évaluation dans votre entreprise ?
excellent
bon
satisfaisant
décevant
médiocre
l'entretien annuel n'est pas pratiqué

Résultats
 
entretien d'évaluation
Quel est le point que votre manager pourrait améliorer durant l'entretien d'évaluation ?
sa capacité à me motiver
sa connaissance de mon poste et de mon activité
sa capacité à me conseiller
sa qualité d'écoute

Résultats
 
 
Il est essentiel d'élaborer un plan d'action commun pour que l'entretien d'évaluation trouve une conclusion positive. Pour donner de bons résultats, un plan d'action doit suivre le modèle SMART:
- Spécifique: que voulons-nous réaliser concrètement?
- Mesurable: il faut pouvoir mesurer les objectifs (durée, qualité, quantité, coûts ...).
- Approprié: l'entretien s'accorde-t-il aux objectifs de l'organisation et aux besoins de votre collaborateur?
- Réaliste: il doit être acceptable, correspondre aux moyens de votre collaboration et de votre organisation.
- Temps: le plan aura une échéance, à diviser en étapes pour permettre un suivi régulier.
 
recrutement
Pour recruter, vous vous fiez avant tout
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à l'expérience
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recrutement
Faites-vous passer un test de personnalité à vos candidats ?
Oui
Non
Pour certains postes

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3 janvier 2006 2 03 /01 /janvier /2006 23:00
Cliquez pour vous procurer le livre relatif au "leader situationnel" de Paul HERSEYRepérer les niveaux de développement de ses collaborateurs et y adapter son style de management.
 
 
Quel style de management adopter afin de rentabiliser au mieux l'énergie dépensée et maximiser le résultat obtenu ?
 
 
Parce qu'il gère une équipe composée avant tout d'individualistés, le manager doit adapter sa gestion, à chacun de ses collaborateurs, en fonction de chaque tâche. Il n'y a pas un style de management idéal, mais des styles adaptés à diverses situations. Telle est l'approche d'Hersey et Blanchard qui, définissant le concept de manager "éducateur", ont, dans les années 1980, proposé de classer les collaborateurs selon deux critères : la compétence, c'est à dire le savoir, fait de savoir-faire et de potentiel (le caractère) et l'engagement, c'est à dire le (bon) vouloir, fait de motivation et de confiance en soi.
 
 
 
L'efficacité dépend de la capacité du leader à adopter le style qui convient le mieux à la situation.
  Aussi Hersey et Blanchard font-ils l'hypothèse que n'importe quel style peut être efficace ou inefficace selon le degré de maturité professionnelle des collaborateurs.  
Cette maturité ne doit pas être confondue avec la maturité psychologique: elle est uniquement relative au travail.
 
 
Sera dit "professionnellement mature" l'individu capable de s'autodiriger dans sa tâche, s'en tenant pour responsable et motivé par ses propres résultats. Le degré de maturité dépend donc de la compétence et de l'intérêt pour le travail.   Ils distinguent 4 niveaux de maturité :   Maturité faible D1: les collaborateurs n'ont pas les connaissances nécessaires et sont peu motivés.       Maturité moyenne-faible D2 : malgré un manque de connaissance, les collaborateurs sont motivés.     Maturité moyenne-élevée D3 : malgré les connaissances, les collaborateurs sont peu motivés.     Maturité élevée D4 : les collaborateurs sont à la fois motivés et compétents.  
Un jeune débutant sera très probablement moins "mature" qu'un ingénieur engagé dans la réalisation d'un projet passionnant. 
 
 
Cette maturité professionnelle est susceptible d'évolution.
 
 
De même que l'éducateur, le manager doit accompagner cette évolution en y adaptant son comportement: très présent et exigeant au départ, il doit peu à peu développer les aspects relationnels puis laisser de plus en plus place à l'initiative des collaborateurs. C'est la théorie du cycle de vie du leadership: chaque degré de maturité a sa correspondance dans la grille de management.
 
 
Cette évolution n'est pas irréversible. Il peut y avoir des régressions: on enregistre une baisse du moral ou de l'efficacité. Le manager doit alors adapter son attitude à cet état de fait ; revenir à un style plus directif avec des collaborateurs de maturité moyenne ; témoigner plus d'attention et de considération, s'ils sont déjà à un niveau de maturité élevé. La grille de management fournit des repères.
 
 
Le problème le plus fréquent dans les relations hiérarchiques habituelles, c'est le comportement stéréotypé du manager, qui répond de la même façon en toutes circonstances. L'évolution de la maturité des collaborateurs s'en trouve généralement bloquée à un niveau moyen.
 
La philosophie de la délégation, c'est précisément le passage à l'état adulte de la relation managériale. Le "retrait" relatif du manager par rapport à l'initiative du collaborateur me paraît être un aboutissement naturel et désirable. Ce qui n'exclut nullement sa disponibilité et sa vigilance constante.
 
Blanchard ("Le manager minute" 1982), a plus spécifiquement approfondi la notion de cycle de développement du collaborateur vers l'autonomie. Pour lui, l'évolution d'une personne à son poste de travail passe successivement par quatre étapes...
 
 
Pour lire la synthèse cliquez sur SITUATIONNEL
 
 
 A prendre connaissance, le "basic" de Didier NOYE et le livre de Dominque TISSIER.
 
 
 
 
 
   
 
La brève de Business digest
Le management situationnel répond à la nécessité d'exercer différents modes de leaderchip, à différents moments et avec des équipes souvent hétérogènes. Basé sur une approche par comportement, ce livre vise à aider les managers à motiver leurs équipes d'une façon équilibrée et à rendre leurs collaborateurs plus autonomes. Enfin, cet ouvrage a le grand mérite de proposer un modèle simple et réaliste qui peut être mis en place par tous les managers, chacun à leur niveau.


Quel manager être quand il faut en permanence jouer sur tous les registres : être présent sans être pesant, être délégatif sans être laxiste, être disponible sans être éparpillé, être déterminé sans être dirigiste, être soi-même sans être impulsif... ? ? ?
Il n'existe pas de bon style de management... et le bon manager est désormais celui qui sait s'adapter aux situations et aux personnes qu'il rencontre en n'étant ni girouette, ni opportuniste...

 

Le management situationnel est un outil qui permet à tout manager de prendre un recul par rapport à ses pratiques de management, à être plus souple et plus en accord avec son environnement. Ce livre donne des points de repère au manager pour développer l'autonomie des personnes et des groupes dont il a la responsabilité.

Adieu aux subordonnés zélés et soumis... et bienvenue aux collaborateurs polyvalents, responsables et autonomes... Adieu aux supérieurs tatillons et autoritaires... et bienvenue aux managers crédibles, motivants et ouverts... 

Pour prendre connaissance du site de Paul Hersey.

 

 
Pour prendre connaissance du site de Ken Blanchard
 
 
Que retenir du modèle de Hersey et Blanchard dans le management ?  
Ce modèle est intéressant car il met en avant le processus d'apprentissage et de motivation qui est de la responsabilité du manager et qui doit, concrétement, sa traduire par un degré d'autonomie de plus en plus grand pour ses collaborateurs, une réduction de la fréquence des contrôles et des délégations formalisées.
 
Le manager doit doit donc être très flexible et selon les cas, tel un Janus à quatre têtes passer du directif au délégatif, en passant par le persuasif et le participatif.
 
Le manager directif encadre de près les jeunes collaborateurs, peu expérimentés et peu compétents, il donne des ordres précis et des instructions individualisées, établit des plannings et programmes, des définitions de fonction, des procédures, effectue des contrôles réguliers, parle beaucoup et écoute peu, connaît le travail et peut l'expliquer. Il donne les instructions, explique les façons d'agir et contrôle les résultats d'une façon quotidienne.
 
Le manager persuasif peut laisser un peu d'autonomie à la personne. Il explique le pourquoi et le comment des choses, et contrôle les résultats toutes les semaines. Il soude l'équipe autour d'objectifs communs. Il donne beaucoup d'explications (les causes, les enjeux), développe son argumentation, ses points de vue, décide et met en valeur les projets et les objectifs, encourage et soutient les individus, apprécie les améliorations, suscite les questions et même les objections, s'assure que chacun a compris ce qu'on attend de lui et se sent motivé.
 
Le manager participatif peut laisser encore plus d'autonomie et associer la personne à la prise de décision. si dans les styles directif et persuasif, c'est le manager qui prend les décisions, ici, les décisions sont prises en commun par le manager et la personne. Il rappelle le respect des contrats et des zones d'autonomie, crée une ambiance de travail conviviale, conseille et aide à résoudre les difficultés, négocie des solutions prenant en compte les intérêts généraux et ceux des individus, analyse les limites de ce qui est négociable, négocie les objectifs et travaille par contrat avec ses collaborateurs qu'il rencontre selon les modalités prévues, écoute, s'adapte, tient compte des attentes et des conseils, permet aux collaborateurs de se mettre en avant et les soutient.
 
Le manager délégatif doit laisser le collaborateur prendre des décisions et l'en informer ensuite. Le contrôle est donc ici a posteriori, dans le cadre d'une délégation formalisée. Il partage la responsabilité et développe la prise d'initiative en accordant le droit à l'erreur, définit les missions et attend les propositions pour réaliser, définit des rencontres périodiques, apporte une aide indirecte, échange, accepte les propositions nouvelles, analyse le processus et les résultats avec le collaborateur.
 
Comment utiliser le modèle ?
- identifier son style naturel en situation de manager.
( pour découvrir le modèle DISC  )
 
 
 
 
- évaluer pour chaque membre de l'équipe et pour chacun des travaux qui leur sont confiés les niveaux de compétence et de motivation.
 
 
- identifier les écarts entre son style dominant et les caractéristiques de chaque personne.
 
- mettre en oeuvre les actions de régulation, c'est-à-dire de modification du dégré d'autonomie accordé à chacun de ses collaborateurs, en fonction des critères de motivation et de compétence, ce qui implique une grande flexibilité comportementale de votre part.
 
Et enfin, souvenez vous:

- Que ce n'est pas parce qu'une personne croit qu'elle sait faire, qu'elle sait réellement faire.

- Que ce n'est pas parce qu'elle devrait savoir faire qu'elle sait faire.

- Que ce n'est pas parce qu'une personne est compétente dans un domaine qu'elle l'est dans d'autres domaines.

- Si votre niveau d'exigence est trop élevé par rapport aux compétences réelles, vous allez démotiver la personne.

- Pour accroître le niveau des compétence d'une personne, formez la.

Que de talents cachés et de dynamisme étouffé par un management inadapté! Ce sont les hommes et non les systèmes qui font la réussite d'une entreprise.


Pour aller plus loin sur le sujet.......

 
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2 janvier 2006 1 02 /01 /janvier /2006 23:00

 

Tout ce que vous devez savoir sur les entretiens annuels

Nous y voilà : la période des entretiens annuels commence. Que vous soyez dans le rôle de l’évalué ou dans celui de l’évaluateur, l’entretien annuel nécessite de la méthode, du tact et quelques réflexes.

- “L’entretien annuel est un moment privilégié de dialogue”

Vos critères d'évaluation sont-ils fondés?
Quelle est la part de subjectivité dans vos entretiens d'évaluation ?
 
Sachez remettre en cause vos préjugés grâce à la check-list ci-dessous
 
1 .Critères d'observation
- L'opinion par exemple que je me fais de ce commercial repose-t-elle davantage sur mes observations personnelles que sur l'avis d'un tiers ?
 
- Mon analyse porte-t-elle sur des critères qui touchent aux performances commerciales plutôt que sur des aspects de procédures ?
 
- Le comportement que j'ai observé est-il typique de ce collaborateur ou résulte-t-il d'une situation particulière ?
 
2 .Critères de mesure
- Les objectifs fixés représentent-ils un challenge à sa mesure ?
 
- Mon évaluation porte-t-elle sur sa capacité de performance actuelle ou sur la moyenne du groupe ?
 
- La majorité de l'équipe répond-t-elle aux résultats que j'exige de lui ?
 
3 .Critères d'objectivité
- Ce vendeur a-t-il dans l'équipe un statut de "collaborateur irremplaçable" ?
 
- Ai-je à son égard une sympathie ou une antipathie particulière ?
 
- Serait-il jugé autrement par un autre responsable commercial ?
 
Pour aller plus loin sur le sujet, Pascaline MALASSINGNE, nous propose un livre documenté sur le thème de l'entretien d'évaluation.

Managers, DRH ou formateurs trouveront ici l'opportunité de compléter leurs acquis dans la façon de structurer leur entretien, définir les types d'interlocuteurs, faire progresser efficacement les phases de l'entretien vers les objectifs fixés, gérer une situation conflictuelle, visualiser les apports d'un collaborateur.

Ils verront aussi, quels sont, pour chacune des phases de l'entretien, les risques de dérapage et leurs conséquences, les avantages et leurs bénéfices, les conditions de réussite.

Pour lire le chapitre 2  

 

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1 janvier 2006 7 01 /01 /janvier /2006 23:01
 
Vieux singes et jeunes cadres
 
Vous vous souvenez de l'histoire qui circulez il y a quelques temps sur internet. Mettez 5 chimpanzés dans une chambre. Accrochez une banane au plafond et disposez une échelle permettant d'accéder à la banane. Mettez en place un système qui fait tomber de l'eau glacée dans toute la chambre dès qu'on commence à escalader l'échelle. Les chimpanzés apprennent vite qu'il ne faut pas escalader l'échelle. Arrêtez le système d'eau glacée, de sorte que l'escalade n'a plus son effet réfrigérant. Maintenant, remplacez l'un des chimpanzés par un nouveau. Ce dernier va chercher à escalader et sans comprendre pourquoi, se fera tabasser par les autres. Remplacez encore un des vieux chimpanzés par un nouveau. Ce dernier se fera encore tabasser, et c'est le chimpanzé n°6 (celui qui a été introduit juste avant) qui tapera le plus fort.
Continuez le processus jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de nouveaux. Alors, aucun ne cherchera à escalader l'échelle et si jamais l'un d'entre eux ose y penser, il se fera massacrer illico par les autres. Le pire, c'est qu'aucun des chimpanzés n'a la moindre idée sur le pourquoi de la chose. C'est ainsi que se constitue une culture d'entreprise.
Cette histoire rappellera des souvenirs à tous les nouveaux venus qui, proposant des initiatives au sein du comité de direction qu'ils viennent d'intégrer, s'entendent répondre avec mépris : "Mon pauvre ami, on a déjà essayé, ça ne marche pas et en plus, on se fait taper dessus par tout le monde. On voit bien que vous êtes nouveau !".
 
La résistance au changement est donc le principal ingrédient d'une culture d'entreprise. Issues au départ de réels impératifs de survie et de développement, les stratégies des dirigeants, dès qu'elles deviennent des "traditions" que plus personne ne remet en question, constituent des limites à la créativité.
 
Il est donc important d'observer sans juger avant de prendre des initiatives, afin de comprendre pourquoi tout le monde vous tombe dessus alors que vous suggérez juste de cueillir une banane.
 
Pour filer la métaphore, disons que le créateur voit la banane, le manager opérationnel voit l'échelle ... et le directeur financier se polarise sur le risque de douche froide : chaque acteur de l'entreprise a sa propre grille de représentation. Il est essentiel de tenir compte des habitudes acquises avant de proposer vos idées nouvelles, peut-être excellentes, mais que vos collègues ne peuvent pas entendre. Les accepter sans ciller, ce serait reconnaître qu'ils se sont trompés pendant des années. 
 
C'est ainsi que le management et la culture d'entreprise prennent naissance...
 
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30 décembre 2005 5 30 /12 /décembre /2005 23:00
KEYROS Management souhaite à tous les lecteurs du blog une très bonne année 2006
en quatre couleurs  !
 
 
 
 
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29 décembre 2005 4 29 /12 /décembre /2005 23:00

Voici un article que j'ai découvert sur le site "Microsoft pour l'entrepreneur", qui explique comment faire des blogs, un outil de marketing à faible coût.

Il n'y a pas si longtemps, un journal était quelque chose d'éminemment personnel ; un recueil de pensées et d'observations, fermé à clé et souvent caché dans le tiroir d'une commode.
Internet a tout changé. Aujourd'hui, un journal de pensées, d'observations et de points de vue, publié sur le net, peut constituer un moyen de relancer votre entreprise.
Les blogs sont devenus un moyen d'engager les lecteurs et les clients potentiels de petites et de grandes entreprises.
Un blog est un journal publié sur un site Web, mis à jour régulièrement et contenant des nouvelles, des opinions, des idées et des débats. Il peut également être relié à d'autres sources d'information, d'autres sites Web ou d'autres blogs.
Nombre de blogs font les deux, invitant les lecteurs à répondre à ce qu'ils lisent.
Abordant des sujets aussi divers que les sports ou les loisirs, ils peuvent aussi être générateurs d'intérêt, et pourquoi pas de revenus, pour votre entreprise.
Si les blogs ne concernent pas tout le monde, voyons comment ils peuvent répondre à ces cinq objectifs commerciaux de base.

L'article de Microsoft se trouve sur le lien :
 Microsoft pour l'entrepreneur.
 
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29 décembre 2005 4 29 /12 /décembre /2005 00:44
Le mensuel "Capital" du mois de décembre 2005, a publié un article concernant le "networking" (voir l'article déjà publié sur le sujet). Cinq sites de réseautage y sont présentés:
 
 
 
 
 
6nergielogo100
 
Ces sites proposent une nouvelle approche en ligne, largement inspirée de la théorie de Stanley Milgram, pour rappel, il existerait six degrés de séparation au maximun entre chaque personne dans le monde.
 
Le site    a publié un article très documenté concernant "le social networking, un nouveau métier à tisser pour les réseaux de personnes", selon lui deux problèmes restent à résoudre : Quel sera leur modèle économique ? Comment pérenniser ces premiers usages du social networking, au-delà du premier pouvoir attractif du concept et de l'effet de mode ?. A découvrir....
 
A voir le site "le journal du blogueur" de France 5.
"Le blog moyens d'expressions, est un espace de stockage d'informations mis à la disposition des utilisateurs, tout en offrant la possibilité à ses lecteurs de déposer leurs commentaires ou observations."
 
 Le Journal Du Blogue sur France5
 
10 livres management
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27 décembre 2005 2 27 /12 /décembre /2005 23:01

Si les cadres français ont le moral et se plaisent dans leur entreprise, cela ne les empêche pas de rêver à mieux. Un constat qui va de pair avec un bouleversement des priorités personnelles.

 

Les cadres français se sentent bien dans leur entreprise et veulent y progresser, à tout point de vue. Prêts à faire des sacrifices, ils sont pourtant 72 % à reconnaître que leur vie professionnelle déborde sur leur vie personnelle. Nombreux sont ceux qui souhaitent se recentrer sur leur famille. En témoignent les chiffres révélés en juillet dernier par l'enquête annuelle Ipsos sur "La France des cadres actifs". Cette enquête est réalisée chaque année auprès de plus de 6.400 personnes.

Affirmation des cadres sur la vie professionnelle (source : Ipsos 2005)
Mon travail me plaît, c'est une source de satisfaction pour moi 
  89 %
Je partage les valeurs de mon entreprise
  83 %
Mes compétences sont reconnues par mon supérieur hiérarchique 
  82 %
J'ai les moyens qu'il faut pour exercer correctement mes responsabilités  
  76 %
Ma vie professionnelle déborde souvent sur ma vie personnelle
  72 %
Mon objectif est d'être / de devenir un membre influent de mon entreprise 
  69 %


Premier constat qui ressort de cette étude, les cadres sont très optimistes sur leur avenir professionnel et sur celui de leur entreprise. Seul un cadre sur cinq pense changer souvent d'entreprise à l'avenir. 89 % des cadres se plaisent dans leur travail. Les raisons qu'ils avancent vont du partage des valeurs, de la reconnaissance de leurs compétences ou des moyens qu'ils ont d'exercer correctement leurs responsabilités. Et pourtant, ils en veulent davantage sur le plan professionnel comme personnel.

Priorités de la vie professionnelle sur les deux ans à venir
(Etude "La France des cadres actifs" -
source : Ipsos 2003-2004-2005)
Les priorités
       2005      2004      2003
Augmenter son salaire 
  58,4 %
  52,5 %
  51,6 %
Se former, développer une nouvelle compétence 
  47,7 %
  47,8 %
  47,9 %
Progresser hiérarchiquement 
  34,9 %
  34,8 %
  34 %
Aménager son le temps de travail 
  32,6 %
  34,7 %
  30,3 %
Changer de fonction 
  21,1 %
  19,4 %
  18,8 %
Créer sa propre entreprise 
 5,4 % 
 5,3 % 
 4,4 %


Professionnellement, ils refusent l'inertie, notamment en interne. D'un côté, 69 % des cadres avouent vouloir devenir un membre influent de leur entreprise, mais seulement un tiers veulent progresser hiérarchiquement. Cette volonté de prendre part aux décisions de l'entreprise coïncide avec celle de créer sa propre entreprise qui grimpe de un point en deux ans et concernant désormais 5,4 % de la population cadre. Une démarche qui répond également au désir d'augmenter ses revenus. La proportion de cadres souhaitant gagner plus augmente de 6,5 points en deux ans, et concerne désormais près de six cadres sur dix.

D'un autre côté, 54,3 % des cadres aimeraient changer de fonction dans leur entreprise, plutôt que de tenter leur chance ailleurs. Une preuve sans doute de leur bien-être au sein de leur société, mais aussi qu'ils jouent la carte de la sécurité face à une conjoncture économique morose. Enfin, depuis trois ans, presque la moitié des répondants à l'enquête Ipsos inscrivent la formation comme une de leurs priorités à court terme.

Priorités à la vie personnelle
(Etude "La France des cadres actifs" - source : Ipsos 2003-2004-2005)
Les priorités
       2005      2004      2003
Se recentrer sur sa famille 
  31,3 %
  21,9 %
  29,2 %
Trouver le calme et la sérénité 
  25 %
  28,5 %
  35,1 %
S'épanouir dans son activité professionnelle 
  15,9 %
  19,8 %
  27,3 %
Vivre intensément 
  13,9 %
  17 %
  21,4 %
Se cultiver, apprendre 
  7,4 %
  10,9 %
  19,6 %
Pratiquer ses loisirs, hobbies 
  6,5 %
  7,3 %
  15,7 %
S'engager : causes humanitaires, associations... 
 1,8 
 2,3 
 3,2 


Autre remarque. Les répondants replaçant leur famille au centre de leurs priorités. En 2003, 29,2 % souhaitaient se recentrer sur leur famille. Un chiffre qui chute à 21,9 % en 2004, avant de remonter à 31,3 % en 2005. Plus étonnantes sont l'évolution des autres priorités de la vie personnelle. En effet, quasiment tous les propositions - trouver le calme et la sérénité, vivre intensément, se cultiver et apprendre... - perdent 10 points en l'espace de deux ans. Est-ce à dire que, durant ce laps de temps, nombre de cadres ont réellement suivi leurs priorités personnelles ?

En tout cas, en deux ans, la pratique d'un sport collectif a augmenté de 2,4 points et occupe le tiers des cadres. Leur attrait pour les activités culturelles augmente : ils vont de plus en plus au théâtre à des concerts ou voir des expositions. D'ailleurs, leur pratique artistique suit la même tendance. Ainsi, 82,6 % des cadres pratiquent de la photo ou de la vidéo, soit 6,1 points de plus en deux ans, et 36,6 % ont une activité artistique (+ 5,1 points). Les cadres n'hésitent plus entre vies personnelle et professionnelle, mais choisissent les deux.

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26 décembre 2005 1 26 /12 /décembre /2005 23:00
Trois nouveautés se trouvent parmi le top 15 des meilleures ventes : "Mes conseils pour réussir", "Stratégie océan bleu" et "La success-story de Kelkoo". En tête, une réédition : "Le but". (21/12/2005)
 
Les managers aiment lire et relire leurs classiques. Parmi les quinze livres de management les plus vendus en 2005 sur le site amazon.fr, seuls quatre titres sont sortis cette année.

Cette année, le plus vendu, Le but : un processus de progrès permanent, n'est en plus qu'une réédition du best-seller. Ce roman figurait déjà, en 2004, parmi les meilleures ventes.
Eliyahus M. Goldratt est aussi l'auteur de Réussir n'est pas une question de chance (2002), treizième du classement.

Parmi les nouveautés, le livre de Jack Welch, Mes conseils pour réussir, a rencontré le succès attendu. Cet ancien PDG de General Electric et gourou du management est aussi auteur du best-seller Ma vie de patron. Concret et vivant, son livre permet de tirer de nombreux enseignements de son expérience
, en tant que managé, manager ou dirigeant.

Les quinze meilleures ventes de livres de management sur Amazon.fr
(Source : Amazon - 2005)
Titre, auteur Editeur, année
1.
Le but : un processus de progrès permanent
Eliyahus M. Goldratt
Afnor
2005
2.
Mes conseils pour réussir
Jack Welch
Village Mondial
2005
3.
Le management pour les nuls
B.
Nelson
First Editions
2004
4.
Le manager minute
Kenneth Blanchard
Ed. d'Organisation
2003
5.
De la performance à l'excellence : devenir une entreprise leader
Jim Collins
Village Mondial
2003
6.
Gagner en efficacité
Patrick-M Georges
Ed. d'Organisation
2004
7.
Marketing management, version couleurs
Philip Kotler  
Pearson Education
2004
8.
Stratégie océan bleu
W. Chan Kim, Renée Mauborgne
Village Mondial
2005
9.

Méthode de négociation : on ne naît pas bon négociateur, on le devient
Alain Pekar Lempereur, Aurélien Colson
Dunod
2004
10.
Le management : voyage au centre des organisations
Henry Mitzberg
Ed. d'Organisation
2004
11.
Ils ont réussi leur start-up ! La success-story de Kelkoo
Cyrille de Lasteyrie, Julien Codorniou
Village Mondial
2005
12.
Communiquer, motiver, manager en personne
Kahler
InterEditions
2003
13.
Réussir n'est pas une question de chance
Eliyahu M. Goldratt
Afnor
2002
14.
Manager pour la première fois
Frédéric Crépin
Ed. d'Organisation
2004
15.
Le Kit du chef de projet
Hugues Marchat
Ed. d'Organisation
2004

Sorti en 2005, Stratégie océan bleu arrive en huitième position. Ce livre explique comment créer de nouveaux espaces stratégiques, en sortant de "l'océan rouge" de la concurrence. Exemples à l'appui, avec les succès de Apple, The Body Shop, le Cirque du Soleil, eBay et Swatch qui sont parties de leur marché pour conquérir des espaces encore vierges. Egalement dans le domaine de la stratégie d'entreprise, Ils ont réussi leur start-up ! La success-story de Kelkoo a rencontré un succès important.

Parmi les meilleures ventes, on retrouve des ouvrages devenus des "classiques", écrits par des figures emblématiques du management : Kenneth Blanchard, Jim Collins (également auteur de Bâties pour durer) ou encore Philip Kotler. Le management : voyage au centre des organisations, de Henry Mitzberg, est toujours dans le top des ventes, dix ans après sa sortie.
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25 décembre 2005 7 25 /12 /décembre /2005 23:00
 
Certaines équipes semblent fonctionner par magie et triompher de tous les défis, changeant le plomb de la tâche à accomplir en or de la performance, avec le plaisir en prime. Certains managers distillent cette molécule secrète qui transforme un groupe d'individus disparates et égocentriques en un groupe soudé, capable de soulever des montagnes avec le sourire.
Il me semble utile de rappeler quelques ingrédients essentiels à la recette d'une mayonnaise collective réussie.
 
Le défi : plus les enjeux sont élevés, plus l'esprit d'équipe se cristallise autour de l'objectif à atteindre. Les collaborateurs se mobilisent autour de missions d'autant plus valorisantes qu'elle apparaissent impossibles.
 
La reconnaissance : dans la plupart des entreprises françaises, on préfère récompenser la performance des individus (bonus, stock-options, primes sur objectifs) plutôt que celle des équipes. Chacun cherche donc en priorité à tirer son épingle du jeu, fût-ce au détriment du groupe. Pourquoi ne pas gratifier la performance collective ?
 
La lisibilité : une structure fortement hiérarchisée n'est pas un obstacle à la constitution d'équipes performantes. Au contraire, il semblerait même qu'elle évite la constitution de "pseudo-équipes" faussement démocratiques, plombées par des conflits personnels sous une façade d'engagement collectif.
 
La taille : les équipes performantes sont petites et mobiles : cinq ou six individus au maximum. Parler d'une équipe de vingt personnes, a fortiori essayer de la manager en direct, est un non-sens.
 
La complémentarité : plus les membres de l'équipe ont des personnalités et des compétences diversifiées, plus le potentiel est grand... à condition que le leader sache reconnaître et respecter l'originalité de chacun.
 
Vision du but et qualité de la relation entre les joueurs, tels sont les deux axes qui caractérisent, les équipes gagnantes.
 
Une spécialiste  européennes du teambulding Lynne Burney note aussi que les équipes de direction sont de loin les plus problématiques. Il ne suffit pas d'assembler les meilleures soupapes du monde pour que cela fasse un moteur. Dans notre culture qui, depuis l'école primaire, valorise les premiers de la classe, on aurait tendance à l'oublier.

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22 décembre 2005 4 22 /12 /décembre /2005 23:00

 

Ce que l'on risque en ne faisant pas de diagnostic commercial. (1ère partie)

Il est honnête de constater que de nombreuses entreprises connaissent des jours heureux sans la moindre attention pour un quelconque diagnostic marketing / vente. Le chiffre d'affaires global, le volume de vente sont les seuls indicateurs relevés de manière régulière.

L'esprit créatif, l'innovation technologique, l'intuition du marché, la capacité de décider et d'autres qualités encore peuvent permettre à l'entreprise un décollage et une croissance heureuse. En réalité, le danger est ailleurs. Il est dans une réaction trop tardive aux changements du marché. L'analyse des faillites montre bien qu'il s'agit là d'une cause essentielle et que seule une politique de prévention peut éviter de tels scénarios. La perte de position concurrentielle est sans doute le signe de syndromes ignorés, profonds et tapis dans l'ombre depuis un certian temps. Ils se révèlent trop tardivement et conduisent à réagir en catastrophe parfois sans succès.

L'absence de diagnostic marketing / vente favorise de telle situations en ne révélant pas les signes caractéristiques de ces syndromes et en ne permettant pas d'entreprendre des actions correctives.

Parmi les syndromes qui entraînent rapidement une perte de position concurrentielle, j'en retiendrais trois qui me semble les plus courants et touchent aussi bien la grande entreprise que la PME/PMI.

Le syndrome de la myopie marketing

Il se caractérise par une volonté d'ignorer les réactions des consommateurs et de négliger l'action de la concurrence. Cette volonté est souvent le résultat d'une attitude qui prend des formes diverses.

- la confiance aveugle dans la supériorité de son savoir-faire commercial

- le mépris du consommateur

- la croyance que les études ne servent à rien

Le syndrome du mirage commercial

La fonction vente devient l'unique préoccupation du management en cas de crise. Le syndrome se caractérise par deux attitudes contradictoires.

- la faute aux vendeurs

Cela consiste en premier lieu, en cas de baisse du volume des ventes, à rejeter systématiquement la faute sur l'équipe de vendeurs : "on ne trouve plus de bons vendeurs" est sans doute la complainte la plus fréquente. Ce mythe est plein de contradictions et s'amplifie autour d'affirmations opposées : l'idée que les écoles de commerce forment des gestionnaires et non des vendeurs - la vraie formation à la vente se fait sur le terrain.

- la survie commerciale passe par la vente

Ce syndrome consiste en second lieu, en cas de baisse du volume des ventes, à concentrer ses efforts principalement sur la motivation des vendeurs et le renforcement de leur potentiel,  en considérant qu'il y a urgence pour revenir à une plus grande rentabilité. On se donne toutes les bonnes raisons pour ne pas regarder ailleurs. Il est trop tard pour modifier son offre de produits, la pression concurrentielle demande de réagir,...

Le syndrome du "chiffre sinon rien"

Il part du principe qu'en dehors des chiffres aucune autre information n'est fiable et consiste à nier l'idée que l'on peut mesurer l'efficacité du marketing qui est perçu comme une matière qualitative. Cette idée est entretenue par le fait qu'une bonne publicité ne dépend pas seulement du montant des dépenses publicitaires mais également de facteurs qualitatifs qui ne sont pas quantifiables, que bon nombre de produits à succès reposent sur l'imagination créative plutôt que les études de marché

Questionnaire Diagnostic commercial
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